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Idée cadeau pour Business(wo)men débordés

Les fêtes de fin d’année arrivent à grands pas et avec elles l’envie de trouver pour chacun de ses proches un cadeau qui lui fait plaisir.

Vos proches, eux aussi pour la plupart Business(wo)men débordés, n’ont probablement pas besoin d’attendre la venue du père Noël pour se faire plaisir eux-mêmes. Et pour vous il n’est pas aisé de trouver une chose à laquelle ils n’auraient pas déjà pensé, voire acheté.

Personnellement, j’adore quand on m’offre un livre qui est muni d’une jolie dédicace. Je sais que la personne a choisi le thème par rapport à mon goût et y a ajouté quelques mots touchants afin de rendre ce cadeau unique.

Cela m’a donné l’idée de  vous proposer de m’associer à vous dans votre quête de cadeau ! Mon livre publié dans la collection « Histoires du Soir pour Business(wo)men débordés » traite d’un sujet universel que tout le monde pratique quotidiennement – souvent sans le savoir – « La négociation » !  Et selon vos indications je peux personnaliser ce livre avec une belle dédicace qui le rend unique pour son destinataire.

Comment procéder ? Facile ! Un petit mail de votre part à gundulawelti@aol.com pour voir les modalités et nous remplissons la hotte du père Noël ensemble !

Ho – ho -ho !



Le foie gras de Georges

Mon beau-père ayant été un chef étoilé, m’a finalement dévoilé le secret d’une de ses recettes de foie gras. Vous êtes beaucoup à me l’avoir demandé et en dépit de la longueur de la préparation, il s’agit d’une recette « inratable » ce qui définit tout ce que je publie.

Faire du foie gras en terrine ne requiert pas beaucoup de temps en cuisine, mais beaucoup de patience. Je vous explique. Vous achetez un lobe de foie gras de canard ou d’oie, entier et pas assaisonné. Il fait environ 500 grammes.  Vous le sortez de son emballage et vous le cassez en deux. Vous verrez qu’à l’intérieur vous allez tomber sur des nerfs. Vous les enlevez avec un sopalin à la main. Ce n’est pas beau à faire, mais cela n’a rien de sorcier. Une fois tous les nerfs retirés, vous vous retrouvez avec une planche remplie de morceau de foie de la taille d’un pouce. Mettez ces morceaux bien à plat. Vous allez l’assaisonner maintenant.

Pour 500 grammes de foie gras, on compte 7 grammes de fleur de sel – pas plus. Vous saupoudrez. Vous râpez un peu de noix de muscade au-dessus du foie et vous poivrez légèrement. Vous vous munissez de votre meilleur Porto ainsi que votre meilleur Cognac (je parle XO évidemment pas le plus cher !), vous mettez votre pouce sur l’ouverture et arrosez chaque morceau de 2/3 gouttes de chaque alcool – pas plus ! C’est tout. Votre foie est assaisonné.

Vous prenez un grand sac de congélation et vous glissez tout dedans en récupérant bien tout ce qui est tombé sur la planche. Vous fermez le sac (avec le moins d’air possible) et laissez sur le comptoir pendant 12 à 24 heures (en hiver, en été il faudra le mettre dans un endroit frais, par exemple à la cave). Si vous avez la possibilité de le mettre sous vide c’est encore mieux. (O.K. les veilles sanitaires seraient horripilées, mais le chef vous explique que la viande doit macérer et s’imprégner de tous les saveurs à température ambiante !).

Le lendemain vous préparez une casserole avec de l’eau à 48°C. Vous y plongez votre sac pour pocher votre foie gras pendant 30 minutes. Si vous n’avez pas de thermomètre, vous plongez la main dans l’eau. Si vous supportez la température, votre foie gras est à bonne température. Il ne faut surtout pas que toute la graisse que les gaveurs ont mise DANS le foie s’échappe à nouveau pour surnager ! Au bout de 30 minutes vous versez le contenu de votre sac dans la terrine et tassez avec le dos d’une cuillère pour chasser les bulles d’air. Vous mettez dans le frigo pendant au moins 8 heures avant dégustation. Le mieux c’est de le laisser se reposer quelques jours, patience !

Si vous voulez donner un aspect encore plus pro et une aide à la conservation, vous achetez de la graisse de canard ou d’oie que vous faites fondre dans une casserole et vous versez une couche de 3 mm sur votre terrine une fois que le foie gras a « durci ».

Vous m’en donnerez de vos nouvelles. Bonnes fêtes !



Le principe de rareté dans l’influence

C’est bien connu, les choses rares suscitent et aiguisent notre intérêt, d’où la sempiternelle recherche de « la perle rare » dans tous les domaines de notre vie.

Il s’agit d’un automatisme qui nous ramène tout droit aux grottes des hommes préhistoriques. Quand il y avait de la nourriture, il fallait manger, car nul ne savait de quoi demain serait fait. Des milliers d’années plus tard, cette expérience a toujours des conséquences sur nous. Nos grottes sont devenues plus sophistiquées, mais le mécanisme demeure bien ancré dans notre cerveau reptilien – celui qui veille à notre survie.

La bonne nouvelle, c’est que réagir par le biais d’un automatisme nous permet d’éviter une réflexion longue pour passer directement à une décision. Un raccourci dont nous sommes friands en tant que Business(wo)men débordés. La mauvaise nouvelle, c’est qu’il nous arrive de payer chers ces raccourcis.

Car ce principe de la rareté nous fait faire des choses étonnantes. Comme des montagnards qui grimpent sur les pics les plus inaccessibles du monde en quête d’une fleur rare nommée Edelweiss ! Nous, qui nous jetons sur une édition limitée et en payons le prix fort ! – mais montrerions-nous le même intérêt si le produits en question était disponible en grande quantité ? La marque à la pomme – pour ne pas la nommer- utilise systématiquement ce principe pour la sortie de ses produits. Au lieu de servir tout le monde avec la dernière version de l’iPhone, l’offre de départ était limitée. Il fallait faire la queue pendant des heures, réserver le produit ou connaître quelqu’un pour posséder un de ces nouveaux bijoux.

Je vous invite donc à vous poser la question la prochaine fois que vous vous extasiez devant une édition limitée, une pièce unique ou un prototype. Lui porteriez-vous autant d’attention s’il n’était pas rare. Êtes-vous en train de vous faire influencer par le principe de la rareté en prenant un raccourci : rare égale désirable ? Ou est-ce que vous le désirez vraiment pour ce qu’il est ? A méditer !

Extrait du livre sur l’Influence dans la collection « Histoires du Soir pour Business(wo)men débordés » à paraître en février 2012.



Le carré d’agneau

Voici une recette parfaitement adaptée pour business(wo)men débordés. Vous recevez, mais vous n’avez pas le temps de préparer le repas et surtout votre mère ne vous a pas appris à cuisiner. Voici ma suggestion pour un repas que vous pouvez adapter au nombre de convives qui ont place autour de votre table : le carré d’agneau.

Les seuls pré requis dont vous avez besoin pour réaliser un carré d’agneau sont un bon boucher et un four !

Vous demandez à votre boucher d’entailler les côtelettes du carré afin que vous n’ayez plus qu’à les couper une fois cuites. Vous comptez entre 2 et 3 côtelettes par personne. Sur la photo vous voyez 1 des des carrés à 12 côtelettes pour 8 convives que nous avons fait ce soir.

Vous positionnez votre ou vos carré(s) sur une plaque allant au four (lèche-frittes ou casserole). Vous enduisez votre viande d’huile d’olive, vous la salez et poivrez et la saupoudrez d’herbes de Provence – et d’ail si vous aimez. Le tout va dans un four qui est préchauffé à 250°C. Vous saisissez ainsi la viande pendant 10 minutes avant de baisser la température à 200°C. Le temps de cuisson pour 24 côtelettes est de 40 minutes en total. Votre boucher vous dira en fonction de la viande quel temps de cuisson respecter.

Pendant ces 40 minutes de cuisson vous avez le temps de vous occuper de vos invités !

Bon appétit !



Mettre les choses en perspective

L’allocution suivante a été tenue par Bryan Dyson, ancien CEO de Coca Cola. Je trouve qu’elle met en image le focus que nous devrions donner aux tâches quotidiennes qui nous incombent – en tant que Business(wo)men débordés :

« Imaginez votre vie comme un jeu ou vous jonglez avec cinq balles dans l’air. Vous les nommez : le travail, la famille, la santé, les amis et le mental et vous devez gardez toutes les 5 dans l’air. Vous vous rendrez très rapidement compte que le travail est une balle en caoutchouc. Si vous la faites tomber elle rebondit systématiquement.

Mais les quatre autres balles –  famille, santé, amis et mental – sont faites de verre. Si vous en laissez tomber une, elle serra irrévocablement égratignée, marquée,  cabossée ou même brisée. Elle ne sera plus jamais la même. Vous devez le comprendre et le combattre. »

Notre vie est souvent organisée autour du travail. C’est là ou nous passons la majeure partie de notre temps et où nous faisons le plus d’effort dans la journée. Si vous avez assez de temps pour vous consacrer également à votre famille, à votre santé et à vos amis, alors vous avez peut-être trouvé le bon équilibre pour vos cinq balles.

Si vous occupez un poste qui vous permet de vous épanouir au quotidien et votre mental est au beau fixe, cela vous permet de rentrer à la maison tout en étant disponible d’esprit pour la famille et les amis.

En revanche, êtes-vous en train de risquer de briser vos balles de verre pour protéger une balle en caoutchouc ?  – Si c’est le cas, c’est le moment parfait pour remettre les choses en perspective !

Et sur une note toute à fait différente: vous voyez devant vous la newsletter numéro 50 (cinquante!!!) que je vous envoie depuis la création du Blog « Boîte à idées pour Business(wo)men débordés ». Un joli anniversaire qui m’incite à vous inviter de partager avec moi les sujets qui vous intéressent, les recettes que vous recherchez ou les thèmes que vous souhaitez que j’aborde ! Partageons ce que nous savons faire !


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Je suis une philosophe du quotidien.
J'encapsule les petits événements de la vie dans des bulles de bonheur pour vous inspirer avec humour et bonne humeur.

Bullement vôtre,
Gundula

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