Bonne nouvelle !
Les remarques cyniques, les cris de ras-le-bol et l’humour corrosif prennent une place énorme sur les réseaux sociaux. Dans ce contexte générateur de stress, j’ai adoré cette publication sur Facebook qui avait pour titre « good news » !
Un ami Mexicain racontait qu’une petite coopérative mexicaine qu’il soutient avait remporté un contrat important avec une chaîne hôtelière.
Il faisait remarquer que les bonnes nouvelles sont bien plus nombreuses que les mauvaises et il invitait ses amis à publier leurs bonnes nouvelles !
Nos paroles créent une énergie, positive ou négative. Laquelle voulons-nous pour nous-mêmes et pour les autres ?
Que vous-est-il arrivé de bien dernièrement ? Une amélioration de votre état de santé ? Les résultats de votre activité professionnelles sont en hausse ? Vous venez de décrocher un certificat ?
Allez-y ! Publiez vos bonnes nouvelles ! Et relayez les bonnes nouvelles de vos amis !
Le marteau
Je mets souvent en garde les participants de mes cours: « ne négociez pas seul dans votre tête, vérifiez ce que pense votre client ».
Un jour, une participante a raconté le sketch suivant:
Un jeune homme aménage dans un immeuble et croise son futur voisin de palier. Il monte ses cartons, met en place ses meubles et se rend compte qu’il ne peut pas suspendre ses cadres n’ayant pas retrouvé son marteau.
Il pense à son voisin et se souvient de son regard sombre. Il se dit que celui-ci doit être déplaisant… probablement l’enquiquineur de l’immeuble… un retraité qui n’a rien d’autre à faire que d’espionner ses voisins… un homme seul, probablement délaissé par sa propre famille… du genre à frapper contre le mur si la musique est trop forte et à envoyer un mot au syndic pour se plaindre des odeurs de cuisine.
Enervé à l’idée de devoir supporter ce rustre, il va frapper à sa porte. Quand le voisin entrouvre la porte, le jeune homme lui aboie : « vous savez ce que vous pouvez en faire de votre foutu marteau ? »
Voilà ce qui arrive lorsqu’on échafaude seul toute une histoire, à partir d’une bribe d’information.
Ça vous rappelle quelque chose ?
Temps morts
Paris – Londres – New York – Singapour. Une pub pour une marque de cosmétique? Non. Mon itinéraire du mois de juillet. Excitant? Oui. Et très fatiguant.
J’ai l’impression de passer ma vie dans les aéroports.
Avant, je m’efforçais de réduire les temps d’attente. Mon programme était surchargé et je courais sans cesse pour être à l’heure. Aucune marge. Stressée. Le regard rivé sur la montre.
Ça, c’était avant. Et puis, je me suis rendu compte qu’arriver deux heures plus tôt à la maison ne changeait pas vraiment ma journée. En revanche, la crainte de rater un avion me mettait dans un état d’anxiété insupportable.
Des choses à faire, j’en ai plein. Des temps morts aussi. Envie de lire un livre, mais pas le temps ? – Avion. Écrire un article pour le blog ? – Salle d’embarquement. Fermer les yeux pour méditer ? – Taxi.
Nous sommes très mobiles avec nos smartphones, liseuses et autres tablettes. Il suffit de repérer tous nos temps morts pour les utiliser. Mes temps morts sont devenus des opportunités de faire ce qui figure sur ma liste d’actions à faire.
Et vous ? Subissez-vous vos temps morts ou y voyez-vous des opportunités ?
Anne-Claire
Anne-Claire est belle. Une tignasse bouclée tombe en cascade sur son dos, un corps parfait et un sourire irrésistible! Un mastère en communication, un travail dans l’événementiel et une carrière à l’étranger toute tracée.
Sauf qu’Anne-Claire a besoin d’autre chose. Elle s’engage dans des ONG et part pendant des années dans des pays en guerre comme le Darfour.
Comment concilier sa vie de femme qui a envie de se marier, fonder une famille et aider l’humanité ?
Elle rentre en France, devient professeur de langues au lycée et s’engage dans la Croix Rouge où elle s’occupe des sans-abris ou encore donne des cours de premiers secours. Programme chargé.
J’admire les convictions d’Anne-Claire. Elle est source d’inspiration pour beaucoup et je le lui dis.
Vous avez un prof, une amie, un oncle, une collègue inspirants ? Envoyez-leur un message et dites leur qu’ils vous inspirent. Vous allez leur donner de l’énergie pour toute l’année !
Pour ma part, je dis « Bravo Anne-Claire, à travers ce que tu fais, tu rends le monde meilleur ! »
Le mariage
Il y a vingt ans, c’était la période des mariages. Pour nous et pour nos amis. Aujourd’hui, nous sommes dans la période où certains de nos amis se quittent, divorcent. Et cela nous fait mal au cœur.
Vu de l’extérieur nous avons toujours l’impression que tout va bien. En discutant respectivement avec une copine et un copain de différents couples, je recueille les mêmes informations : nous n’étions plus que des colocataires. Nous ne faisions plus rien ensemble à part élever les enfants. Je ne me sentais plus désiré. L’autre ne me semblait plus désirable.
Ce recueil m’a fait penser à mon ami Simon T. Bailey qui raconte lors de ses conférences que sa femme Renée lui rappelle régulièrement la règle suivante : « Ce que tu as fait pour me conquérir, tu dois continuer à le faire pour me garder ! » – Un peu extrême ? Peut-être. Mais un remède efficace contre la routine !
Chez eux pas de « allons vite fait manger un truc sur le pouce », mais « nous réservons dans quel restaurant ce soir ?» Pas de « pas la peine de me laver les cheveux ce soir », mais « donne-moi 30 minutes, je vais me faire belle pour sortir » !
La routine et se connaître sous tous les angles nous fait oublier que l’être cher a besoin de sentir aimé et désiré. Une petite sortie surprise. Un dîner aux chandelles. Son gâteau favori, même si ce n’est pas son anniversaire. Tant de façon de se dire : « Je t’aime ».
Vous lui dites comment ?