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Duo d’amuses bouches sortant du four

Due d'amuses bouchesVous l’aurez compris, je ne suis pas fan des cacahuètes à l’heure de l’apéro, d’où ma quête permanente pour trouver des idées novatrices, différentes et par la même occasion plus saines que nos amis les chips !
Aujourd’hui, je vous propose un duo d’amuses bouches qui sortent tout droit du four une fois que les verres sont servis.
Pour le premier, c’est une idée de ma copine italienne Enrica, qui aime bien marier les ingrédients de son beau pays avec ceux de la France.

 

 

Vous prenez :
•    Un rouleau de chèvre que vous coupez en rondelles de 5 mm. Vous coupez les roues ainsi obtenues deux parties égales.
•    Vous prenez une tranche de pancetta (ou à défaut du lard ou du jambon) et enroulez votre morceau de chèvre tout en lui donnant la forme d’un petit cigare
•    Vous posez dans un plat allant au four et saupoudrez d’herbes de Provence

 
Pour le deuxième vous prenez :
•    Des pruneaux  dépourvus de noyaux et vous les enroulez dans  1 tranche de lard
•    Vous les posez dans un autre plat ou en quinconce avec les premiers
Vous mettez votre plat dans le four à 180°C à l’arrivée de vos invités et vous chauffez pendant 15 minutes en surveillant.  Ils sortent du four à point au moment où vous allez trinquez !

 

 

Chin-chin !



L’histoire des ponts

Voici l’histoire d’un père et son fils qui s’aimaient beaucoup et qui vivaient en parfaite harmonie sur leur terre à bois, jusqu’au jour où un conflit éclata entre les deux.


Le père et le fils vivaient du fruit de leurs labeurs. Ils travaillaient et récoltaient ensemble. Ils avaient tout en commun. Tout commença par un malheureux malentendu entre eux. Mais peu à peu, le fossé se creusa jusqu’au jour où il y eut une vive discussion entre les deux. Puis un silence douloureux s’installa et dura plusieurs mois.


Un jour quelqu’un frappa à la porte du fils. C’était un homme à tout faire qui cherchait du travail: – «Avez-vous quelques réparations à faire?». – «Oui, lui répondit-il, j’ai du travail pour toi. Tu vois, de l’autre côté du ruisseau vit mon père. Il y a quelques mois il m’a offensé gravement et nos rapports se sont brisés. Je vais lui montrer que je peux aussi me passer de lui.   Tu vois ces pierres à côté de ma maison? Je voudrais que tu construises un mur de deux mètres de haut, car je ne veux plus le voir!». – L’homme répondit: «Je crois comprendre la situation…».


Le fils aida son visiteur à réunir tout le matériel nécessaire. Puis, il partit en voyage le laissant seul pendant toute une semaine. Quelques jours plus tard, lorsqu’il revint de voyage, l’homme à tout faire avait déjà terminé son travail. Mais quelle surprise! Le fils fut totalement bouleversé. Au lieu d’un mur de deux mètres de haut, il avait plutôt construit un magnifique pont.


Au même instant, le père sortit de sa maison et courut vers son fils en s’exclamant: – «Tu es vraiment formidable! Construire un pont après ce que je t’ai fait! Je suis fier de toi et te demande pardon.».


Pendant que le père et son fils fêtaient leur réconciliation, l’homme à tout faire ramassa ses outils pour partir. «Non attends! Lui dirent-ils. Il y a ici du travail pour toi!». Mais il répondit:
– «Je voudrais bien rester, mais j’ai encore d’autres ponts à construire.»


Alors voici ma question du dimanche matin : avez-vous des ponts à construire ou à reconstruire dans votre vie ? Si la réponse « oui » – vous attendez quoi ? – poser la première pierre dès aujourd’hui !



Cuisses de pigeonneau

J’en conviens – il n’y pas grand-chose à manger après une cuisse de pigeonneau  – mais ce qu’il y a est absolument délicieux, facile à préparer et idéal pour accompagner votre apéritif. Ceci dit il suffit d’en servir 4 à 5 par personne pour en faire une entrée originale.


Vous chauffez un peu d’huile dans une poêle et vous y déposez les cuisses préalablement salés et poivrés côté peau. Faites attention que l’huile soit bien chaude sans la brûler. Vous baissez un peu, mais continuez à saisir à feu vif pendant 10 minutes (oui je sais, cela paraît long mais c’est comme cela que la peau va devenir croustillante !). Au bout de 10 minutes vous les retournez et saisissez 5 minutes de l’autre côté.


Pendant ce temps vous préparez de l’ail, et du persil, les deux finement  hachés. Vous ajoutez l’ail pendant les deux dernières minutes de cuisson pour être sûr qu’il soit cuit.Vous ajoutez le persil au moment où vous éteignez le feu et vous mélangez le tout.


Servez dans la poêle ou bien sur des assiettes individuelles – vous n’allez pas résister à vous lécher les doigts !








Autrement

L’homo civilisatus, c’est-à-dire vous et moi, vit avec ses habitudes. C’est  John Dryden qui en a fait un résumé intéressant :  « Nous façonnons d’abord nos habitudes, puis nos habitudes nous façonnent.  »


Quand je regarde autour de moi, je remarque à quel point j’enchaine les mêmes gestes, les mêmes habitudes, chaque jour sans les mettre en cause, sans les améliorer ou les questionner. Je m’asseye  toujours sur le même siège pour dîner, je me  gare toujours au même endroit, je pose mes affaires toujours sur la même étagère, etc.


Dès que nous faisons les choses – de façon exprès ou pas – autrement, nous remarquons que nous sommes stimulés par ce nouvel angle. Lors d’un dîner avec des amis je ne suis pas assise au même endroit que d’habitude et je vois une grosse toile d’araignée dans le lampadaire que je ne pouvais pas voir de ma place habituelle… j’allume une bougie à un endroit où je n’en avais jamais posé et sa douce lumière me rappelle la beauté du cadre qui est posé juste au-dessus… le matin, au lieu d’écouter ma chaîne radio habituelle, je change et me fais surprendre par une musique qui me rappelle un événement particulièrement heureux !


Alors c’est quoi ce « stimulus » ? Selon le dictionnaire il désigne tout ce qui provoque une excitation allant d’un son, à un stimulus visuel, une source chaleur, la sensation de gravité, un événement, une odeur, etc.

Alors  qu’est-ce qui vous stimule ? – ce week-end à cheval dont vous rêviez depuis des mois ou des années et qui vous fait déborder d’énergie et d’anecdotes à raconter ? – ce repas au restaurant avec des êtres chers qui a excité vos papilles ? – ce changement de travail qui stimule à nouveau votre créativité et votre enthousiasme par des gestes que vous n’aviez plus qu’exécuté « par habitude » ?


Si les trois mots suivants vous font défaut dans votre vie quotidienne :

Stimulus – Excitation – Créativité

…il est grand temps de les provoquer.


Je ne dis pas que c’est facile, mais maintenant que je vous en ai parlé, c’est comme si j’avais allumé la lumière dans la cave, vous aurez vu ce qu’il y avait. Même si j’éteins à nouveau, vous ne pouvez plus revenir en arrière – vous ne pouvez plus dire que tout était noir, que vous n’avez rien vu ! Alors retroussez vos manches et faites comme Mark Twain vous suggère : « On ne se débarrasse pas d’une habitude en la flanquant par la fenêtre ; il faut lui faire descendre l’escalier marche par marche.  »


– allez-hop, c’est parti, engagez-vous sur la première marche !



Les tomates provençales

Des tomates, de l’ail, du vieux pain, du persil (frais ou séché), du sel et de l’huile d’olives sont les ingrédients de cet accompagnement aussi inratable que délicieux !

Vous coupez vos tomates « à la ceinture » en deux moitiés égales et en retirez  le pédoncule avec un couteau pointu. Vous disposez les moitiés face coupée vers le haut dans un plat allant au four et préchauffez celui-ci à 200 degrés. Salez la surface des tomates. Maintenant, préparez la garniture dans un bol :

Pour la garniture j’utilise du vieux pain (blanc, complet, aux graines – tout sauf du sucré – tant qu’il est sec) que j’écrase  en miettes dans un torchon avec un marteau :-).  Pour 6 tomates il faut compter environ une demi-baguette. A cette chapelure on ajouter un bouquet de persil et 3 gousses d’ail hachés ainsi qu’une cuillère à café bombée de gros sel. Un peu de poivre et hop – votre garniture est prête !

Vous avez le choix de mettre l’huile d’olives dans la garniture ce qui a l’avantage que vous pouvez disposer des « tas » de garniture sur les tomates sans qu’elle tombe à côté. Or, elle vous reste collée aux mains par la même occasion ! Personnellement je la dispose très largement sur les tomates, arrose abondamment avec de l’huile d’olives. Et ce qui tombe entre les tomates est délicieusement grillé à la fin de la cuisson et fait le bonheur de la famille !

Vous enfournez entre 20 et 30 minutes selon la taille de vos tomates  – et votre viande se retrouve sur l’assiette avec un compagnon plein de couleur et de saveurs !

Bon appétit.


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Qui suis-je ?

Je suis une philosophe du quotidien.
J'encapsule les petits événements de la vie dans des bulles de bonheur pour vous inspirer avec humour et bonne humeur.

Bullement vôtre,
Gundula

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