by Gundula Welti
01 Déc 2018
Ma récente randonnée m’a donné l’occasion – et le temps – de me rendre compte qu’abandonner n’est pas une option pour moi.
Marre au bout de 20 km sur un marathon de 42 ? – ah non ! Interrompre une randonnée de 1000 km pour une tendinite ? – même pas en rêve !
Sans être une sportive de haut niveau, je me suis trouvée un don : le don de la persévérance.
Un client indécis ? Je le relance. Je lui fais une contreproposition et me rappelle à son bon souvenir jusqu’à ce qu’on fasse affaire ensemble.
Bref, ce don me permet d’aller au bout des projets les plus ambitieux.
Un don n’est pas toujours visible au premier coup d’œil. Quel est celui qui vous permet de vous réaliser ?
by Gundula Welti
10 Mai 2018
Dans le livre “Jouez à fond vos points forts” on peut lire la parabole du petit lapin : Le jour de sa première rentrée il démarrait les leçons pour apprendre à courir et à sauter. Il rentrait à la maison, ravi de ses performances et heureux d’y retourner.
Or, le lendemain les profs annulèrent les leçons de course et de saut, car le lapin savait déjà le faire. Ils le mirent à la natation et au vol, ce qui lui échappait complètement. Le petit lapin rentra à la maison, frustré avec l’envie de tout abandonner.
Cette parabole décrit malheureusement ce qui se passe dans notre système scolaire et nos organisations. Il est important de connaître ses faiblesses et d’avoir une éducation complète, d’apprendre à écrire, calculer ainsi qu’autres connaissances basiques. Mais il est absolument crucial de connaître ses talents et de les cultiver aussi.
Il est important d’investir du temps dans nos faiblesses afin de pouvoir survivre dans le monde. Mais il est indispensable d’investir dans nos forces afin de prospérer.
Quelles sont les forces dans lesquelles vous n’avez pas investi afin de pouvoir prospérer ?
by Gundula Welti
04 Mai 2013
« En essayant continuellement
on finit par réussir
donc plus ça rate
plus on aura de chances que ça marche »
– Les Shadok
Voilà un paradoxe encourageant que Pascal Denormandie a eu la bonne idée de partager avec moi.
Échouer à plusieurs reprises nous semble confirmer – un peu plus à chaque essai – que nous ne sommes pas capables. Mais ce que nous ne voyons pas, c’est qu’à chaque essai nous avons appris quelque chose de nouveau.
Chaque essai est un apprentissage, aussi petit soit-il. Tant que vous essayez, vous ne pouvez pas stagner et encore moins revenir en arrière. C’est comme vouloir oublier comment lire. Vous l’avez appris et ne pouvez pas le désapprendre.
Alors, au lieu de vous dire que vous n’avez pas réussi, dites vous que vous avez appris quelque chose de nouveau qui vous a rapproché un peu plus de votre but !
Rappelez-vous aussi des thèmes déjà vus sur ce blog : « Ne jamais abandonner », car « impossible n’est pas français » !
by Gundula Welti
31 Mar 2013
La persévérance marque le début de notre existence sur terre. Je veux pour preuve qu’il nous faut à chacun environ 2000 essais avant de pouvoir faire notre premier pas. Frustrant ? – oui ! Abandonner ? – Jamais !
• James Dyson a crée 5127 prototypes avant de commercialiser le premier aspirateur sans sac.
• Christophe Colomb a essuyé un total de 4 refus du roi du Portugal et la reine d’Espagne avant de recevoir le financement pour pouvoir partir à la recherche de la route des Indes.
• Les frères Wright ont effectué 700 vols avant de devenir les précurseurs du vol maîtrisé.
Avaient-ils des raisons de se décourager ? D’abandonner ? De baisser les bras ? – Évidemment. Mais ils ne l’ont pas fait.
Mon premier livre a été refusé par toutes les maisons d’édition auxquelles je me suis adressée. Et j’ai testé 13 recettes de macarons (et sali la cuisine autant de fois) avant de sortir les premiers macarons du four qui ressemblent à ce qu’on voit dans le commerce.
Quelle belle récompense après tant d’efforts. Quelle douce satisfaction d’être allé au bout de mon rêve ou de mon idée. D’avoir exploré toutes les voies, toutes les techniques, d’avoir utilisé toutes les ressources.
A quel moment avez-vous abandonné un projet ou un rêve qui vous tenait à cœur ? Aviez-vous exploré toutes les possibilités pour y arriver ? Si votre projet ou rêve est encore vivant, il est peut-être toujours possible d’aller au bout. Faites comme les enfants. Croyez-y et persévérez !