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Retour aux sources

vegetables-2338824_640Un fataliste soutient lors d’un dîner que le monde est corrompu, perdu. Que les politiques et autres éminences grises tirent les ficelles et que le commun des mortels ne peut plus rien faire. Nous courons à notre perte.

Je ne suis pas d’accord. L’optimiste en moi observe le démarrage d’un tsunami ( même un tsunami démarre petit…)

J’observe des vaguelettes qui se démultiplient partout où je vais :
Nous mangeons moins de viande. Nos amis aussi.
Nous achetons chez les producteurs locaux. Leurs magasins affichent complet.
Je prends des vacances en marchant dans la nature. L’engouement pour la randonnée semble confirmer une tendance.

James F. Twyman nous propose de devenir le changement que nous voulons obtenir. « Si vous voulez ressentir la paix, devenez la paix ». Il nous invite à créer d’abord à l’intérieur de nous ce que nous voulons matérialiser à l’extérieur.

Si nous sommes tant de personnes à confirmer une tendance, nous pouvons créer notre propre Tsunami. En revanche, rester sur nos canapés et rouspéter ne sert à rien.

Et vous ? Comment contribuez-vous au Tsunami du changement que vous voulez voir ?



Criser ou changer

 

 

Je regarde mes enfants faire leurs devoirs en écoutant de la musique tout en surveillant l’écran de leur ordinateur pour suivre un « chat » et sans oublier de manger des chips.

 
Au lieu de communiquer avec nos amis de vive voix, nous leur envoyons des SMS, des emails et nous postons notre quotidien sur facebook. Vous avez essayé de résister ? Moi oui, et je me suis très vite sentie exclue.

 
J’ai fini par suivre l’exemple de mes enfants, de mes collègues et de mes amis. J’étais à nouveau dans l’actualité.

 
Les journaux et les chaînes TV crient à la crise. Et si cette crise n’était qu’un monde qui change ? Ou plutôt notre propre incapacité à nous adapter au changement ?

 
La Crise n’est pas une vague qui est venue pour repartir. C’est le changement de notre monde, aussi violent qu’un tsunami pour certains mais qui est venu pour rester. Vu sous cet angle, nous pouvons nous morfondre dans les regrets du « bon vieux temps » ou bien nous adapter et profiter de la nouvelle réalité.

 
Ce n’est pas simple et c’est même très compliqué pour beaucoup. 
Et vous, avez-vous plutôt tendance à attendre la fin de la crise ou avez-vous pris le parti du changement ?