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La fraise vêtue d’une jupe de chocolat

Les fraises sont disponibles en abondance sur les étalages. Mais peut-être commencez-vous à vous lasser de l’éternelle salade de fraises au sucre avec la crème fleurette ? C’est pourquoi je vous propose cette idée inratable qui ravie les yeux et les papilles.

 
Vous prenez un petit bol à faible diamètre, dans lequel vous déposez 50 grammes de bon chocolat noir. A cela vous ajoutez une cuillérée à thé de beurre que vous chauffez doucement au bain marie ou aux micro-ondes. Vous mélangez bien pour lier le beurre et  le chocolat. Dès que le tout est lisse, vous enlevez du feu et vous trempez vos fraises dans le chocolat liquide à mi-hauteur environ.
Vous les déposez sur une assiette revêtue  de papier sulfurisé  et rangez l’assiette au réfrigérateur. Un quart d’heure plus tard votre dessert, ou accompagnement est prêt !

 
Bon appétit.



La négociation : la clé du bonheur

Voici un postulat pour le moins surprenant. Mais bien réfléchi : la négociation est omniprésente dans notre vie, tout comme la prose que nous faisons sans le vouloir.

 
La clé du bonheur évoque peut-être pour vous le bien-être, la spiritualité ou encore une nourriture saine.

 

Alors faisons un petit exercice. Si vous êtes soucieux de votre bien-être, vous accordez au soin de votre corps, du temps que vous prélevez sur celui consacré au travail ou aux tâches ménagères. Ce choix est le résultat d’une « négociation interne ».

 
Vous pourriez aussi bien faire un compromis : « je m’occupe un peu de mon corps et un peu de mon ménage pendant la même soirée ». Ce faisant, vous ne satisfaites entièrement aucun des deux besoins, laissant chacun d’eux dans un état de frustration mécontente.

 
ET si en revanche vous négociez avec vous-même : je consacre ma soirée d’aujourd’hui à la détente et en contrepartie, je fais le ménage demain soir » ? Les deux protagonistes (vous !) sortent de cette négociation avec leurs besoins comblés grâce à la concession que chacun a fait à l’autre.

 
Concrètement, comment cela marche ? Suite au prochain épisode d’ici deux semaines !



Le champagne à la couleur du printemps

Nous connaissons tous le champagne accompagné de sirop de cassis, de framboise ou encore de mûre pour faire un rafraichissant kir royal.
C’est l’arrivée des fraises qui nous donne envie de faire notre kir royal  – façon Welti. Et voici comment nous procédons : nous faisons de la purée avec quelques fraises bien rouges et sucrées. Nous en déposons un peu au fond d’une belle flute et la remplissons avec précaution de cette délicieuse boisson pétillante. Un petit coup de cuillère délicat pour bien mélanger la purée qui est plus lourde qu’un sirop et qui a donc tendance à rester au fond du verre – et l’apéritif est servi !
Chin-chin.

PS : et c’est comme pour toutes les bonnes choses : il ne faut pas en abuser 🙂



Le coût du zéro

Un petit voyage dans le temps en compagnie du zéro nous ramène vers le 3e siècle après J.-C. Ce sont les Babyloniens qui vont les premiers utiliser le zéro, pas comme nombre, ni même comme chiffre, mais en qualité de « marqueur », pour indiquer une absence.

 

 

Par exemple, si l’on voulait transposer le nombre 507 par écrit, on écrivait 5 7 ; il y avait 5 centaines, aucune dizaine et sept unités. Pour se rappeler cette absence et éviter une confusion avec le nombre 57, les scribes – et non les mathématiciens –  inventèrent un marquage prenant la forme d’un double chevron pour signifier cette absence. Le zéro était né.

 

 

Au 9e siècle, les Arabes emprunteront aux Indiens le zéro, le mot sunya devenant sifr. Et ce ne sera finalement qu’au 12e siècle que le nombre arrivera en Occident, le mot devenant zefiro pour devenir zéro à la fin du 15e siècle.

 

 

Les Grecs, peuple pourtant mathématicien, ont rejeté le zéro pour ces raisons. Le vide n’existant pas selon Aristote, le nommer est sans intérêt, voire faux. Aujourd’hui, nous devons donner raison au vieil Aristote. Quand nous pensons que quelque chose est offert, gratuit et coûte donc zéro, nous nous trompons sérieusement. C’est comme il l’avait prévu : tout bonnement faux. Et voici pourquoi :

 

 

1) Est-ce que vous achèteriez un petit calepin à 50 centimes ? Ce n’est vraiment pas beaucoup d’argent, mais vous n’en avez pas besoin.
2) Et achèteriez-vous le calepin qui a été discounté de 50 centimes à 2 centimes ? Très probable – sous condition quil vous intéresse vraiment.
3) Et si ce calpin était disponible gratuitement ? Alors là –  même s’il ne vous intéressait pas encore 2 minutes plus tôt – vous auriez du mal à ne pas le ramener à la maison.

 

 
Nous tombons facilement dans les pièges qui nous sont tendus et nous nous retrouvons avec un anorak pour notre chérubin d’une couleur douteuse, simplement parce qu’il était vendu avec les gants et le bonnet « gratuits ».

 

 
Quand vous allez au supermarché faire vos courses, des présentateurs vous proposent des dégustations « gratuites ». Fuyez !!! Car une fois le produit avalé le principe de la réciprocité entre en jeu et il y a des bonnes chances que vous achetiez le produit en question, et ceci même si vous ne l’aimez pas particulièrement. Coût « zéro » ? – absolument pas.

 
A en être conscient avant de tomber dans le prochain piège !

 

 

Extrait du livre « L’influence » dans la collection Histoires du Soir pour Business(wo)men débordés.



La Margarita

A part les ingrédients, il vous faut soit un mixeur ou un shaker (oui mesdames, même le shaker de chez Tupperware fera très bien l’affaire !).
Pour 4 personnes – car une Margarita cela se partage avec des amis – il vous faut :

 

  • 500 ml de jus de citron (Pulco, si vous n’avez pas envie de les presser)
  • 350 ml de Tequila
  • 150 ml de Cointreau
  • 100 ml de Canadou (sirop de canne)

Vous secouez vigoureusement et servez sur des glaçons ou de la glace pilée.
Manque plus que le soleil et vous êtes  prêts à déguster cette boisson si fraîche et enivrante.


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Qui suis-je ?

Je suis une philosophe du quotidien.
J'encapsule les petits événements de la vie dans des bulles de bonheur pour vous inspirer avec humour et bonne humeur.

Bullement vôtre,
Gundula

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